2017 – Du patient numérique aux trajets de soins augmentés
publié le 28 octobre 2017
Du patient numérique aux trajets de soins augmentés … Faut-il tuer le transhumanisme ?
19 octobre 2017
reposant largement sur les seules compétences humaines, est de plus en plus irriguée par des concepts d’automatisation, de numérisation, d’analytique assisté ou piloté par la “machine”, d’intelligence artificielle…
On parle désormais de santé, voire de médecine, augmentée. Quels en sont les promesses (réelles ou fausses), les impacts potentiels non seulement pour le corps humain et la nature humaine, mais aussi pour la manière de pratiquer et de concevoir la médecine? Le professionnel de soins sera-t-il demain un être hybride, la médecine y perdra-t-elle son âme?
La médecine toujours plus technologisée oublie-t-elle le périmètre accepté et acceptable de finalités purement thérapeutiques et soignantes? La quête d’un mieux-être s’arrête-t-elle là où commence la quête d’un “meilleur homme”?
Les questions – médicales, techniques, déontologiques, éthiques ou simplement humaines – se bousculent. Les technologies et acteurs de “disruption” brouillent encore plus les cartes.
Le séminaire a notamment tenter de circonscrire le concept d’“augmentation”. S’applique-t-il aux trajets de soins, aux outils, à l’“objet”-même des soins? Il y fut notamment question de décodage du génome, de réalité virtuelle, d’intelligence artificielle et d’algorithmes prédictifs parfois obscurs, de jumeaux numériques auto-apprenants, de dispositifs médicaux greffés, implantés, bio-ensemencés…
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